Un instrument privilégié pour le diagnostic et l'examen de situations très variées

Pour un contrôle aisé des zones dangereuses ou difficiles d'accès

Grâce au drone, l’intervenant peut désormais examiner la situation d’un ouvrage, d’un chantier, sans s’exposer.

Il s’agit donc d’un atout important pour traiter les sites difficiles d’accès, en hauteur ou périlleux.  De nombreux couvreurs l’ont bien compris. Progressivement, le drone s’impose dans ce corps de métier comme  un outil d’évaluation de la situation avant même d’accéder à la toiture. Très pratique pour une première appréciation des précautions à prendre avant d’accéder au chantier. Le recours au drone  facilite et accélère la réalisation  de devis.

Pour les gros travaux de BTP, la prise  de vue aérienne  respecte  l’organisation retenue par le coordonnateur de chantier. Il réduit au strict minimum les interactions avec les équipes sur le terrain.  Malgré cela, l’outil permet d’appréhender rapidement la situation dans sa totalité ; le vol du drone  permet de prendre des mesures et des côtes sur la totalité de l’emprise bien plus rapidement que des mesures depuis le sol

Avec à une fréquence plus soutenue au service d'une maintenance préventive plus efficace

Pour de nombreux ouvrages difficiles d’accès, l’inspection périodique peut être onéreuse et compliquée à mettre en oeuvre. La souplesse du drone permet de réduire significativement les coûts à engager pour ces opérations de contrôle périodique. C’est le cas en particulier, pour les ouvrages en hauteur ; ces évaluations peuvent être réalisées sans recours aux échafaudages.  Dans le même ordre d’idée, le contrôle des lignes hautes tensions et de leur proximité avec la cime des arbre, peut s’opérer sans recours aux moyens aériens traditionnels (nettement plus onéreux)

Plus fréquentes et plus systématiques, ces visites de contrôle périodiques autorisent donc la détection précoce des désordres. Le recours au drone permettant la prise immédiate de mesures, la planification des chantiers de réparation et d’ entretien est accélérée.

source : Altitude Carto
source unsplash Hans-eiskonen

Le drone lors des prises de vue n’entre pas en contact avec la zone de sinistre. Il n’altère donc pas la zone étudiée ; la démultiplication des points vue qu’autorise ce vecteur ( y compris au dessus ) peut s’avérer précieuse pour l’analyse des causes du préjudice et l’appréciation de l’ampleur des dégâts)

Moins véloce que l’avion, le drone peut néanmoins parcourir d’importantes distances grâce au mode multi-batterie ; pour les surfaces importantes, les logiciels de programmation de vol  permettent la reprise de la captation au dernier point photographié avant retour pour changement de batterie. La mesure de la surface sinistrée et le chiffrage de l’indemnisation sont accélérés.

L'évaluation aérienne un atout pour les assureurs : un outil au service de l'identification des causes de sinistre et leur indemnisation

Se poser les bonnes questions : que dois-je préciser dans mon projet avant de solliciter une prestation drone

Dans quel(s) but(s) ? Pour quelles exploitations des livrables

  1.  mes objectifs: communication, finalité opérationnelle, sécurité, mesures rapides, prospection, base pour simulation
  2. quels types de produits numériques vais-je récupérer? Puis-je les exploiter de façon autonome. Où s’arrête ma demande. Quels formats puis-je traiter

Quand, Où

  1. localisation pour la captation drone (si autorisation préalable obligatoire prévoir délais)
  2. lieu (ville/campagne)
  3. degré d’urgence
  4. topographie/obstacles aériens/zone couvertes par étendues d’eau (réflectance)

définir les besoins spécifiques de mon projet

  1. précision attendue
  2. format des fichiers
  3. délais/fréquence de la captation
  4. superficie à traiter
  5.  système de coordonnées de référence
  6. retraitements en interne